QU'EST-CE QUE LA THERAPIE CRANIOSACRALE?
La thérapie manuelle craniosacrale est une méthode globale qui travaille sur toutes les structures du corps : les systèmes musculo-squelettique (de la cheville à la dernière cervicale en passant par le bassin et les membres supérieurs), nerveux, cardio-vasculaire, immunitaire, endocrinien, les organes et les fascias.
Elle traite tous les maux que traite l’ostéopathie classique structurelle (douleurs de dos, articulaires, névralgies, etc.), avec en plus les maux de la sphère crânienne (migraines, vertiges, acouphènes, etc.), ainsi que les aspects psychologiques, et les troubles du sommeil.
Cette ostéopathie douce et sans craquement est adaptée à tous types de patient, du nourrisson à la personne âgée.
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Manipuler en douceur, tout en restant à l’écoute du corps. Ici, pas de craquement. Uniquement des manipulations douces et ciblées pour libérer les tensions que pourrait rencontrer le corps.
Il n’est pas là question de faire bouger un os du crâne ou de l’articuler comme l’on ferait pour une épaule par exemple. Mais il existe des tensions au niveau du crâne, que l’on peut aisément expliquer par les aponévroses les entourant, les muscles s’y attachant, et les sutures biseautées.
Cette approche permet de soigner tout à chacun : le bébé ou l’enfant durant sa croissance (sans risque de compression sur les cartilages de croissance) et la personne âgée (sans risque de fracture lorsque la déminéralisation osseuse est présente).
Une thérapie douce
Une thérapie manuelle globale
Un des principes essentiels de la thérapie manuelle craniosacrale consiste à considérer le corps humain comme un « tout », un ensemble de structures en interaction les unes par rapport aux autres, et par rapport à l’environnement (diététique, sociale, climatique…).
Le thérapeute prend en charge un patient dans sa globalité et va donc s’intéresser aux principaux systèmes du corps pour rechercher la causalité des symptômes exprimés par le patient.
Toute structure a potentiellement un lien direct avec les structures voisines mais également un lien indirect ou à distance avec d’autres structures, ceci par simple corrélation tissulaire (nerf, muscle, tendon, fascia…).
